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Oroonoko – Aphra Behn
CHF14.50Dans ce roman rédigé en 1688, A. Behn décrit l’existence du petit-fils du roi de Cormantine, Oroonoko. Enlevé par un capitaine anglais, il est vendu comme esclave en Amérique et rebaptisé César par son maître, Trefry. L’écrivaine, qui a personnellement connu Oroonoko, loue ses qualités morales au détriment de la nouvelle classe bourgeoise anglaise, qui fonde son pouvoir financier sur l’esclavage.
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Pour l’intersectionnalité – Eléonore Lépinard et Sarah Mazouz
CHF7.60Une analyse consacrée à l’intersectionnalité, un concept créé dans les années 1980 par des féministes de couleur pour désigner les processus d’imbrication et de co-construction de différents rapports de pouvoir (capitalisme, patriarcat, xénophobie, hétérosexualisme). L’histoire de cette notion, son instrumentalisation politique ainsi que les résistances qu’elle suscite sont notamment évoquées.
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La fin des monstres – Tal Madesta
CHF13.60Une plongée dans l’expérience de la transition de genre, à travers un récit qui fait vivre et comprendre avec intensité la disparition d’une identité suivie d’une renaissance.
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Testo junkie – Paul B. Preciado
CHF16.00Sexe, drogue et biopolitique.
Journal de bord de 236 jours d’intoxication volontaire à base de testostérone synthétique et réflexion sur le désir, la transsexualité et le pouvoir de la politique. L’industrie pharmaceutique, la différence sexuelle et la perception des genres sont notamment abordées.
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Pour une écologie pirate – Fatima Ouassak
CHF12.80Et nous serons libres.
L’autrice montre que la stratégie des mouvements écologistes d’aller chercher dans les classes populaires pour élargir le front des luttes est vouée à l’échec et est selon elle à la fois paternaliste et centrée sur le point de vue des classes moyennes blanches. Elle en propose une autre débarrassée du rapport colonial vis-à-vis de ces populations qui sont les premières victimes de la pollution.
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Un livre à soi – Charlotte Bienaimé
CHF16.50A partir d’Un podcast à soi, sur Arte radio, et des témoignages reçus à cette occasion, l’auteure propose une réflexion sur le sexisme ordinaire, la grossophobie, le rôle des pères, l’écoféminisme, le prix du sexe ou encore l’horloge biologique. Elle questionne l’évolution du féminisme au quotidien et l’imbrication des diverses luttes sociales.
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La malbaise – Margaux Terrou
CHF27.70Critiquant l’asymétrie des rapports sexuels dans les couples hétérosexuels, l’autrice montre comment les pressions sociétales, patriarcales et culturelles empêchent l’épanouissement du désir et du plaisir féminin. Elle propose des solutions pour libérer les femmes de cette sexualité imposée, tout en appelant les hommes à jouer un rôle actif dans cette révolution.
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Politiser le bien-être – Camille Teste
CHF22.50Le secteur du bien-être est florissant et puissant mais souffre d’un manque de légitimité. L’auteure interroge les raisons d’une telle déconsidération par les milieux politiques progressistes, dénonce le rejet du care et démontre que les pratiques du bien-être peuvent conduire à l’émancipation si elles sont accompagnées d’un projet à visée révolutionnaire.
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Amours silenciées – Christelle Murhula
CHF30.80Repenser la révolution romantique depuis les marges.
L’auteure déplore que, lors de la révolution de l’amour relancée par de nombreuses figures féministes françaises, certaines femmes ont été mises de côté : les femmes racisées, les pauvres, les banlieusardes, les handicapées ou les mères célibataires. Elle décortique cet accès inégal des femmes à l’amour selon leurs origines ethniques, géographiques et sociales. -
Sortir de l’hétérosexualité – Juliet Drouar
CHF22.50L’auteure définit l’hétérosexualité comme un régime politique sexiste qui divise les individus entre dominants et dominés et les oblige à vivre en couple. Dans ce manifeste, elle plaide pour une société égalitaire qui produirait des personnes plutôt que des hommes et des femmes, et repenserait la manière de faire communauté et d’aimer.
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Les luttes fécondes – Catherine Dorion
CHF24.00Libérer le désir en amour et en politique.
En politique comme en amour, le besoin d’union est encadré, limitant la portée du désir. Ces structures prennent la forme de partis politiques et du couple. Partant de cette analogie, l’auteure propose des pistes pour que la notion d’engagement soit associée à la joie du partage et à la fécondité des actions, et non à l’idée de restriction.
Petit mot de la librairie :
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