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Les chats de Shinjuku
CHF33.00Yama, jeune scénariste et poète, rencontre Yume, une jeune femme timide qui travaille au Kalinka, un bar de l’arrondissement tokyoïte de Shinjuku. Ils débutent une relation amoureuse et écrivent des poèmes sur les chats du quartier, que Yume, orpheline, voit comme une famille de substitution. Leur bonheur s’interrompt soudain quand la jeune femme est accusée d’avoir poignardé un client.
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Le rêve de Ryôsuke – Durian Sukegawa
CHF14.70Ryôsuke souffre d’un mal-être profond, un manque de confiance en lui qui lui vient de la perte de son père dans l’enfance. Après une tentative de suicide, il se rend sur une île célèbre pour ses chèvres sauvages, où son père vivait. Il tente alors, en milieu hostile, de réaliser le rêve de ce dernier, devenir fabricant de fromage de chèvre.
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Les délices de Tokyo – Durian Sukegawa
CHF14.20Pour payer ses dettes, Sentarô vend des gâteaux. Il accepte d’embaucher Tokue, experte dans la fabrication du an, une galette à base de haricots rouges. La clientèle de l’échoppe double grâce à celle-ci, mais la vieille femme cache un secret et disparaît du jour au lendemain. Prix des lecteurs du Livre de poche 2017 (littérature).
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L’attentat antiféministe de polytechnique – Mélissa Blais
CHF32.50Une mémoire collective en transformation.
D’abord paru en 2009 sous le titre «J’haïs les féministes !» , ce livre offre un panorama inédit des interprétations antagonistes de la tuerie survenue le 6 décembre 1989 à l’Ecole Polytechnique de Montréal. Dans cette édition revue, augmentée et coiffée d’un nouveau titre, Mélissa Blais prend acte du chemin parcouru…
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Comme un hamster à lunettes – Marion Séclin
CHF33.50La comédienne et chroniqueuse se compare à un hamster, symbole de peur et de vulnérabilité. En explorant son passé de rejet et d’isolement, elle interroge l’enfermement, les préjugés et le besoin de lien. Et si cet animal fragile portait en lui une force insoupçonnée, presque révolutionnaire ?
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Il faut faire confiance à la justice – Elodie Tuaillon-Hibon
CHF19.10#metoo une mise au point indispensable.
Avocate au Barreau de Paris et engagée dans la défense des femmes victimes de violences, l’autrice évoque les problèmes que rencontrent les femmes victimes de violences sexuelles sur leur parcours judiciaire. Elle explique que, trop souvent, la société accorde la présomption d’innocence plus facilement aux accusés qu’aux plaignantes, et qu’il faut remédier à cela.
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Faudrait peut-être recadrer – L’Indéprimeuse
CHF22.50Petites pensées féministes dans un monde plutôt genré.
Une ode à la féminité et à la sororité à travers plus de 130 aphorismes, fausses couvertures de livres et autres créations littéraires fantaisistes et engagées.
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Petit dictionnaire de l’inégalité féminine – Alice Ceresa
CHF21.50A travers une cinquantaine d’entrées, l’auteure explore l’emprise du patriarcat et repense les termes du champ sémantique du féminisme. Elle redéfinit également la biologie, la religion ou encore la littérature.
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Ascendant beauf – Rose Lamy
CHF28.00Revenant sur son histoire, la militante féministe tisse un récit de la domination culturelle côté dominée, racontant le coût d’une existence déterminée par la classe sociale et le mépris de ceux qui incarnent le bon goût. Interrogeant les formes et les fonctions de ce mépris, porté parfois par le camp politique des classes populaires, elle montre ce que la figure du beauf permet d’invisibiliser.
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La parole aux négresses – Awa Thiam
CHF27.40Livre fondateur du féminisme noir, initialement paru en 1978, dans lequel l’anthropologue sénégalaise met au jour le vécu, les maux et les combats des femmes noires, victimes d’une triple oppression (de genre, de classe et de race). Elle aborde leurs problèmes spécifiques, que sont les mutilations génitales, l’analphabétisme ou encore la polygamie et le mariage forcé.
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« Allumeuse ! » – Christine Van Geen
CHF12.80Un mythe pour dominer les femmes.
« Allumeuse », « pute », « salope »… Ces termes désignent des femmes au sujet desquelles la question du consentement est superflue. Toutes mériteraient les violences qu’elles subissent ; elles les auraient cherchées, provoquées par la longueur de leur jupe ou par leur danse. Christine van Geen décortique les caractéristiques de la figure de l’allumeuse, de l’Antiquité à l’époque contemporaine, et montre son omniprésence des cours de collège aux tribunaux. Comment les femmes peuvent s’émanciper de cette figure, trop longtemps retournée contre elles, pour en récupérer la puissance ?
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Les couilles sur la table – Victoire Tuaillon
CHF16.00Synthèse de deux ans d’interventions de chercheurs et de chercheuses, au cours du podcast éponyme, sur la masculinité et ses effets, la virilité et le rapport des hommes à l’amour, à la domination et à la violence de genre. Prix de l’essai féministe Causette 2020 (prix du public).