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Dysphoria mundi – Paul B. Preciado
Le son du monde qui s’écroule.
Manifeste pour des pratiques d’émancipation hors du néolibéralisme, des nationalismes, des inégalités, des violences raciales et sexuelles ou de la destruction de la biosphère. Le philosophe décrit une transition planétaire qui marquerait le début de la fin du réalisme capitaliste. Il assimile la notion de dysphorie, caractérisant selon lui le XXIe siècle, à une forme de dissidence politique.
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La terreur féministe – Irene
Petit éloge du féminisme extrémiste.
Présentation de militantes féministes qui ont eu recours à la violence pour lutter contre le joug du patriarcat. Certaines ont tué au nom de leurs convictions. Leurs parcours ouvrent une réflexion sur la place de la violence dans le féminisme et interrogent le préjugé de la non-dangerosité des femmes. -
Moi les hommes je les déteste – Pauline Harmange
Et si les femmes avaient de bonnes raisons de détester les hommes ?
Et si la colère à l’égard des hommes était en réalité un chemin joyeux et émancipateur dès lors qu’on la laisse s’exprimer ? Dans ce court essai, Pauline Harmange défend la misandrie comme une manière de faire place à la sororité et à des relations bienveillantes et exigeantes. Un livre féministe et iconoclaste à mettre entre toutes (oui, toutes !) les mains.
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Présentes – Lauren Bastide
Une étude sur la place de la parole des femmes dans l’espace public qui présente notamment leur nombre et la durée de leur temps de parole dans les médias. L’auteure met en évidence la faible présence féminine au cinéma, à la télévision ou à la radio. Avec des solutions pour les mettre au coeur de l’espace public et faire entendre leur voix.