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Destéria et les démineurs – Nedjma Kacimi
Au Mozambique, au tournant de l’an 2000, des entrepreneurs sud-africains et chinois s’accaparent le bois des forêts pourtant protégées dans un système de corruption généralisée. Lorsque l’un d’entre eux meurt, c’est tout ce système qui risque d’être révélé. Destéria, une femme âgée, met tout en oeuvre pour protéger son fils Damasio, chauffeur mêlé malgré lui à cette affaire.
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De l’autre côté de la vie – Fabrice Humbert
Paris, 1940. Le narrateur n’a plus le choix, il doit mettre ses enfants à l’abri et les préserver de la cruauté ambiante. Tous les trois fuient la ville en direction de la république du Jura, en voiture, à dos d’âne ou à pied. Leur périple est illuminé par la bonté de quelques personnes et la beauté de la nature.
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Bouche-Fumier – Hortense Raynal
Recueil poétique dans lequel l’auteure s’interroge sur ce qu’est la poésie.
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L’appel – Leila Guerriero
Fruit de mois d’entretiens, un récit dans lequel l’autrice brosse le portait de Silvia Labayru, plaignante au premier procès pour violences sexuelles commis à l’ESMA, un grand centre de détention clandestin de Buenos Aires durant la dictature argentine des années 1970, où était pratiquée la torture.
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A l’école du vivant – Anne-Marie Lo Presti/Sabine Oppliger
Réflexion sur le rapport à la nature et au vivant, présentés comme un environnement propice à l’apprentissage, un lieu de transformation sociale et un espace pour penser la relation entre humains et non humains dans une reconnexion à la terre. Les auteures s’appuient sur les récits de pédagogues et d’amoureux de la nature pour imaginer un autre monde et des manières de mieux l’habiter.
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Deux femmes, deux déesses – Réa Galanaki
Les portraits d’Ariane et d’Athéna, deux féministes inspirées de la mythologie grecque et de l’histoire de la Grèce moderne, qui inversent les rapports de pouvoir.
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Tenir debout – Mélissa Da Costa
Eléonore et François tentent de vivre leur histoire d’amour envers et contre tout.
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Une reine sans royaume – Hella Feki
En débarquant à Tunis en avril 1907 à l’occasion d’une pièce de théâtre donnée dans les ruines de Carthage, la reine malgache Ranavalona III craint de croiser Marius Cazeneuve, son ancien amant. Les tensions politiques tunisiennes font remonter en elle les souvenirs de sa jeunesse, la brutalité de son exil et la mélancolie de ses amours malheureuses.
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Ollivetti – Allie Millington
Ernest Brindle, 12 ans, se lance sur les traces de sa mère partie du jour au lendemain. Déterminé à la retrouver, il espère obtenir des réponses grâce à Olivetti, la vieille machine à écrire de sa mère, que cette dernière a revendue dans un dépôt-vente. Récit dans lequel s’entremêlent les voix du petit garçon et de la machine à écrire. Premier roman.
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Nous sommes faits d’orage – Marie Charrel
Après le décès de sa mère Ester, Sarah se rend en Albanie, dans la maison familiale. Elle y découvre la vie d’Elora. Pendant le régime communiste d’Enver Hoxha, cette dernière, adolescente, ne rêve que de liberté avec son ami Agon.
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Magda, cuisinière intergalactique (1) – Nicolas Wouters
Magda, 12 ans, est née sur Azuki, une lune minuscule à la biodiversité exceptionnelle. Alors qu’elle participe au fameux concours intergalactique de cuisine végétarienne, avec pour premier prix le Nectar, convoité pour ses propriétés miraculeuses, la jeune fille découvre que les dirigeants de certaines planètes comptent voler celui-ci pour étendre leur pouvoir sur toute la galaxie.
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Je voulais vivre – Adelaïde de Clermont-Tonnerre
L’histoire de Milady, le personnage du roman Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas. Au-delà de brosser un portrait singulier de la jeune femme, l’autrice alterne les témoignages et les époques pour relater les intrigues politiques et amoureuses du XVIIe siècle. Prix de la rentrée 2025 (La Forêt des Livres chez Gonzague Saint Bris), Prix du Titre 2025.
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Jacky – Anthony Passeron
Face aux drames et à l’ennui, les jeux vidéo sont le seul refuge d’Anthony, le narrateur et de son frère jumeau. Leur vie bascule lorsque leur père, Jacky, part du jour au lendemain, sans laisser de trace. Roman inspiré de l’histoire intime de l’auteur.
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In violentia veritas – Catherine Girard
Lorsqu’elle apprend à 14 ans qu’elle est surnommée la fille de l’assassin, C. Girard interroge son père, l’auteur du roman Le salaire de la peur, accusé puis acquitté du meurtre de son père, de sa tante et de leur servante. Sa confidence la plonge dans un deuil d’un demi-siècle, dont elle ressort pour dire la vérité dans une enquête familiale marquée par la violence.
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Fleurs intestinales – Vamille
Comme tous les enfants, Camille naît avec une fleur dans le ventre qui doit se transformer en jardin pour la protéger. Mais alors qu’elle devient femme, sa fleur se fane et Camille tombe très malade. Elle est atteinte de la maladie de Crohn, qui entrave son quotidien et ses projets d’avenir. Elle trouve finalement le chemin pour l’apprivoiser et ne plus la laisser définir son existence.
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Et si la nuit avait peur de toi – Peter Vergas
La nuit a peur du jour et passe son temps à le fuir et à se cacher. Quand le soleil est enfin couché, elle ose sortir mais elle ne trouve personne avec qui s’amuser et le temps lui paraît long. Seules les chauves-souris et les étoiles l’apprécient. Un album qui aborde la peur du noir.